Pour intégrer au mieux la v2 de la règle Bataille Empire en vue des tournois de novembre (Warfare 🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 puis Ballainvilliers) puis en février (Alcoy 🇪🇸), mon compère Niko va mener à la guerre ⚔️ mes polonais (version 1809) en délaissant ses traditionnels autrichiens.
Notre partie sera une fois encore une rencontre.

Je décide donc de mettre sur table mes ottomans 🇹🇷. Par rapport à la partie précédente, j'aligne une batterie de 8£ et non plus de 12£. J'ai opté pour cette option car la batterie de 8£ peu avance à la bricole, ce que sa "grande sœur" ne peut faire. Encadrée par des nizam-i-cedid en ligne, la batterie me paraît bien protégée.
Je ferai entrer mes divisions d'infanterie britannique au 2e tour. La cavalerie, elle entrera au 3e tour.

Le déploiement
Début du 2e tour

Au 1er tour, Niko a pris possession des 2 bâtiments.
Pour ma part, les sekhans, à droite, prennent position dans le champs clos.

Début du 3e tour

Au 2e tour, Niko a fait entrer un petite division d'infanterie sur son aile gauche, composée d'1 batterie et 2 lignes pour un commandement Mauvais. Sur son aile droite, c'est 1 batterie, 2 lignes, 1 SK et les grenadiers réunis E4 !! 
Pour ma part, j'ai fait marcher mon infanterie, avec 2 mouvements. Je vais pour le coup prendre le bâtiment sur la gauche avec les corses SK

Au 3e tour, nous avons fait entrer nos cavaleries respectives.
Niko aligne 2 uhlans E4 et 1 hussard L4. C'est vraiment du très très lourd !! Il vient faire la jonction avec son aile gauche et les troupes tenant les bâtiments.

Le 4e tour a été terrible pour moi. J'ai cédé sur TOUS les points de contact, tant au corps à corps qu'au tir. Les dés 🎲 n'étaient vraiment pas avoir moi. Perdre des combats alors que l'on a +2 avant le lancé de ces cubes maléfiques est plus que rageant !! J'avoue j'étais à 2 doigts d'abandonner.
A droite, ses 3 unités de cavalerie ont chargé mes renforts ottomans : un nizam-i-cedid en carré (qui a repoussé la charge), la batterie (détruite sans poursuite) et un nizam-i-cedid en ligne (qui se replie mais sans plier).
A gauche, ses grenadiers réunis chargent et font dérouter une ligne britannique. Ses lignes entrent dans le champs plutôt que de se positionner pour charger le bâtiment, car ma cavalerie vient couvrir la zone.
Avec ma cavalerie juste je tente de prendre la batterie polonaise positionnée sur la colline (qui est un objectif polonais). Et bien, je suis repoussé !!!

Le 5e tour va tourner en ma faveur.
Mon aile droite cède. Niko, avec son infanterie en ordre, charge mon nizam-i-cedid impacté au tour précèdent par sa cavalerie. Je déroute. Il ne reste alors qu'un nizam-i-cedid en carré et le sekhan déployé en SK. Lorsque j'active la division, mes sekhans ouvrent le feu. Le polonais doit tester ! Et il se replie en désordre ! Ma ligne de communication reste donc sauve !!!
La cavalerie polonaise se replie. J'en profite pour tirer dessus au canon de bataillon avec mon centre. Je viens placer mes highlanders 🏴󠁧󠁢󠁳󠁣󠁴󠁿 à distance de charge pour le tour suivant pour tenter de prendre un objectif supplémentaire.
Ma cavalerie charge de nouveau la batterie polonais logée sur la colline. Ça y est ! L'objectif est pris !!! 
Mon aile gauche tient bon et repousse les 2 charges polonaises (grenadiers réunis et ligne).

Début du 6e tour

Je débute ce dernier tour dans une posture impensable il y a 2 tours !!
L'aile gauche polonaise retraite, tout comme son aile droite.
Au centre, je n'ai pas réussi à changer mon ordre. Mes highlanders 🏴󠁧󠁢󠁳󠁣󠁴󠁿 ne peuvent donc pas charger pour tenter de prendre le bâtiment qui était de mes objectifs.
Ma cavalerie impétueuse se retrouve à charger une colonne polonaise qui réussit à passer en carré plein. Malgré tout, le polonais cède.

Fin de partie

Ce fut une partie très serrée où je m'estime très mal embarqué. La compo polonaise m'a surpris avec plusieurs troupes Élite.

Je subis 21,5 pertes !!! J'en fais 21.
Une fois encore, c'est la prise des objectifs qui me permet de remporter cette victoire "marginale". En effet, je contrôle 4 objectifs.
Cela me fait donc 41 points, contre 31,5 pour Niko.

Retour à l'accueil